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Exercices

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1. Lisez l’article «Petite(s) histoire(s) d’une grande boisson », répondez au questionnaire.

2. Faites l’analyse de l’article.

 

 

REVISION

Devoir 1

Faites l’analyse de l’article.

 

Coca-Cola veut lutter contre l’obésité à travers ses publicités

À partir de lundi, aux États-Unis, le géant américain des boissons va encourager "les gens à s’amuser en brûlant" les calories contenues dans une canette.

Le géant américain des boissons sans alcool Coca-Cola va aborder la question de l’obésité dans des publicités qui seront diffusées à partir de lundi aux États-Unis, où l’effet sur la santé de la consommation des sodas fait débat. Le groupe a annoncé dans un communiqué la diffusion à partir de lundi soir sur des chaînes câblées nationales d'une vidéo "qui encourage chacun à garder à l’esprit que toutes les calories comptent pour gérer son poids, y compris celles des produits Coca-Cola et de toutes les nourritures et boissons".

Coca-Cola y rappelle aussi son "engagement à offrir davantage de choix de boissons, y compris des options à faibles ou sans calories, et à communiquer clairement le nombre de calories contenues dans tous ses produits". Une autre publicité, qui sera lancée mercredi, dit pour sa part "clairement qu'une canette de Coca-Cola fait 140 calories" et "encourage les gens à s'amuser en brûlant ces calories", indique encore le groupe. Coca-Cola rappelle dans son communiqué qu’il soutient déjà une série d’initiatives visant à encourager l’exercice physique, et dit avoir été le premier groupe de boissons aux États-Unis à fournir des indications nutritionnelles et caloriques sur ses produits.

"Nous sommes engagés à rassembler les gens pour lutter contre l’obésité", affirme dans le communiqué Stuart Kronauge, responsable des boissons gazeuses du groupe en Amérique du Nord. "Coca-Cola tient un rôle important dans cette lutte", ajoute-t-il. Le débat sur les méfaits des sodas a notamment été alimenté récemment par une interdiction partielle des ventes de sodas de plus d’un demi-litre décidée par la ville de New York. La décision, qui entrera en vigueur courant mars et s’appliquera dans les restaurants, les stades et les salles de cinéma, vise à lutter contre l'obésité dans une ville dont 58 % des habitants sont obèses ou en surpoids, selon des statistiques de la mairie.

Le Point.fr

Publié le 14/01/2013

http://www.lepoint.fr/sante/coca-cola-veut-lutter-contre-l-obesite-a-travers-ses-publicites-14-01-2013-1614680_40.php

Devoir 2

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La vie secrète des adolescents en ligne…

L’image de l’adolescent qui parle au téléphone des heures est maintenant un souvenir du 20esiècle, car en 2012, parler au téléphone intéresse 4 % des ados. Ils ont pourtant presque tous un téléphone à la main, mais pour communiquer avec leurs réseaux en ligne. C’est le genre d’informations que nous révèle une étude conduite par McAfee, Ericsson et Common Sense Media dont les résultats ont été mis en forme et publiés parBusiness Insider.

Le téléphone mobile avant l’ordinateur ou la tablette

Le CEFRIO nous indiquait qu’en 2011, au Québec, chez les 18 à 24 ans, la proportion qui avait un cellulaire ou téléphone intelligent était en croissance et déjà au-dessus des 80 %. Or, cette étude américaine vient préciser des données sur le comportement des 12 à 17 ans qui semblent confirmer que le mobile pour la jeune génération est un mode de vie et une façon de communiquer. Dans ce groupe d’âge, plus de 70 % ont un téléphone, et une proportion croissante des ados ont des téléphones intelligents. Selon des chiffres publiés par Nielsen à la fin de 2011, l’utilisation de données mobiles par les adolescents de 13 à 17 ans avait connu une croissance de 256 % relativement à l’année précédente! Ils ont presque tous accès à un ordinateur à la maison, mais c’est encore leur téléphone qu’ils préfèrent utiliser pour communiquer.

Quand le mobile définit la façon de communiquer

Comme ils sont presque tous équipés d’un cellulaire, mais pas tous d’un téléphone intelligent ou d’un iPod touch, c’est par le texto qu’ils peuvent se joindre le plus facilement. Les filles envoient en moyenne 802 messages par mois, les garçons, 604. L’étude précise aussi que quelque 30 % des adolescents utilisent le courriel chaque jour, et le pourcentage descend à 19 % pour ce qui a trait aux messages instantanés. Quand on sait qu’ils utilisent le cellulaire, il semble que l’outil qui leur est accessible est déterminant pour choisir leur moyen de communiquer, car les téléphones facilitent le texto ou la mise à jour des réseaux, mais le «clavardage» n’y est pas adapté, et les courriels demandent un peu plus de gestion de la part de l’utilisateur et leur système d’archivage, s’il est apprécié en milieu de travail, n’est pas nécessaire pour un ado qui donne rendez-vous à un ami.

Interagir par les réseaux sociaux, mais surtout Facebook

Outre le texto pour les communications immédiates, les ados communiquent par Facebook en regardant le profil de leurs amis et en ajoutant un commentaire sur un message. Quelque 70 % commentent au moins chaque semaine les publications de leurs amis et près de 60 % commentent les publications de leurs amis au moins tous les jours et parfois plusieurs fois par jour. Quant à Twitter, si les réseaux sociaux ont la cote auprès des adolescents, le gazouillis ne fait pas partie de leurs habitudes. Parmi ceux qui ont créé un compte sur le réseau, ils sont 72 % qui ne l’utilisent jamais, les 28 % restant l’utilisent «parfois». Et pour la jeune génération d’utilisateurs, Twitter arrive même derrière l’utilisation quotidienne du «clavardage» pour communiquer avec les autres joueurs d’un jeu en ligne.

Lors de la sortie de l’étude à la fin de la semaine dernière, quelques médias ont essayé d’expliquer le manque d’intérêt des jeunes pour Twitter du fait que l’aspect «fil d’actualités» ne les intéresse pas et que les courriels sont plus liés au monde du travail… C’est possible, mais je m’attends à ce qu’ils adhèrent à Twitter si ce dernier est intégré aux réseaux qu’ils fréquentent déjà, et quant au courriel, je suis curieuse de voir ce qui l’aura presque complètement remplacé quand ces jeunes feront leur entrée sur le marché du travail!

Par Nadia Seraiocco

publié le 16 juillet 2012 à 18 h 29

http://blogues.radio-canada.ca/triplex/2012/07/16/la-vie-secrete-des-adolescents-en-ligne/

 


Devoir 3

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Immigration: le parler vrai

Vociférations, ignorance, irresponsabilité... la question

immigrée est un abcès dans la France d’aujourd’hui.

Comme presque toutes nos grandes que­relles, celle de l’immigration possède une caractéristique: on parle beaucoup et on sait peu. Connaissons-nous exactement le nombre des étrangers résidant en France? Faut-il arrê­ter l’immigration? Les départs, forcés ou volontaires, sont-ils plus nombreux aujour­d’hui qu’hier? La France a-t-elle trahi sa mis­sion de «terre d’asile»? Combien d’étrangers accèdent chaque année à la nationalité fran­çaise? Y a-t-il une délinquance étrangère supérieure à la moyenne nationale? Pourquoi les enfants d’immigrés, même nés français, souffrent-ils d’un échec scolaire particulière­ment grave?

Autant de questions à propos desquelles la véhémence des échanges le dispute ordinaire­ment à l’ignorance des données. On a pu entendre récemment un éminent homme d’État, tout à fait libéral, déclarer: «Il faut arrêter l’immigration.» Or, l’immigration est arrêtée depuis 1974, date à laquelle le gouver­nement à décidé d’interdire l’entrée en France de nouveaux travailleurs étrangers perma­nents. Les seules entrées nouvelles autorisées, depuis lors, sont dues au regroupement fami­lial, ou aux demandeurs d’asile politique. Le pourcentage global d’augmentation de la population étrangère, qui était de 4,5 % par an de 1968 à 1974, est tombé à 1 % par an de 1975 à 1982 et à 0,7 % de 1982 à 1985.

On répondra que l’immigration clandestine échappe à ces statistiques. Mais point besoin de clandestinité pour que les statistiques nagent dans le chaos. En 1982, l’institut national de la statistique et des études écono­miques – l’INSEE - dénombre 3 680 000 étrangers, et le ministère de l’Intérieur, 4 239 238. C’est que l’INSEE se fonde sur les résultats du recensement de 1982, comme si les formulaires étaient tous remplis et retour­nés avec le même zèle et la même exactitude en milieu immigré que dans les autres! Quant aux bénéficiaires de l’asile politique, il y en a eu 1 600 en 1974 et 30 000 en 1986. Comment, à la lecture de ces chiffres, ne pas rire aux anathèmes stupides sur la France devenue «terre de l’exclusion»!

Avec 7 % d’étrangers dans la population, nous sommes dans la moyenne européenne. Mais plusieurs facteurs additifs aggravent les tensions: la surconcentration dans certains départements et, avant tout, dans les zones urbaines. Songeons que 70 % des étrangers vivent dans des villes de plus de 100 000 habitants, et 40 % seulement des Français. D’où quatre conséquences: logements sur­peuplés, chômage aggravé, enseignement insuffisant débouchant sur l’échec, forte délinquance. D’où cette idée clé que le pro­blème immigré en France n’est d’abord que l’amplification des handicaps de la France pauvre en général, auxquels s’ajoutent des handicaps spécifiques, différents selon les pays d’origine. Aussi la véritable ligne de par­tage ne passe-t-elle pas avant tout entre les résidents qui ont la nationalité française et ceux qui ne l’ont pas. Entre les naturalisations (60 000) et les naissances (40 000), il y a 100 000 nouveaux Français par an. Mais cela ne veut pas dire qu’ils ne continueront pas à vivre pour autant dans le contexte immigré, avec ses désavantages économiques, sociocul­turels et psychologiques. L’immigré «existen­tiel» peut fort bien ne pas être étranger, et de nombreux étrangers, résidents permanents ou de longue durée, ne partagent pas du tout le mode de vie immigré.

Il faut donc «déracialiser» la question immigrée et la «socialiser», retirer le dossier aux vociférateurs de tous bords, pour le situer enfin sur son terrain propre, celui des réalités humaines, économiques et culturelles.

Extraits d’un article de Jean-François Revel, complété par Schleuder le 06 mai 2006

http://schleuder.hautetfort.com/archive/2006/05/06/immigration-le-parler-vrai.html

 

Devoir 4

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Дата добавления: 2015-08-09; просмотров: 90 | Нарушение авторских прав


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