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Education pour tous. Plan

Читайте также:
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  2. Education in England
  3. Pre-School Education
  4. Primary Education
  5. SCHOOL EDUCATION
  6. UNIVERSITY EDUCATION

I. Introduction

II. Développement

1. Education – état aux pays du Sud

2. Réunion à Dakar

3. Réunion à Gênes et à Kananaskis

III. Conclusion

 

Exposé

Le thème que j’ai à développer set l’éducation pour tous.

Certes, nous vivons dans un monde civilisé et nous sommes habitués au fait que les gens qui nous entourent sont éduqués. Même si une personne ne fait pas ses études à l’Université, elle a terminé au moins une école – elle peut lire et écrire sans problèmes.

Mais on peut faire un pari enverse lorsqu’on parle des pays du Sud, l’Afrique par exemple. Les chiffres parlent d’eux-mêmes. Dans le monse entier, un milliard d’adultes sont inalphabètes et 100 millions d’enfants dont 60% des filles n’ont aucune chance d’être scolarisés. En Afrique, 75% d’enfants sont non scolarisés. Les raison en sont multiples. La première et la principale c’est la nécessité pour les enfants de travailler. Ainsi, les 250 millions doivent participer aux tâches agricoles ou domestiques. La deuxième c’est la pauvreté extrême. On peut mentionner dans ce contexte des facteurs culturels (discrimination sexuelle) et des facteurs sanitaires (la pandémie du sida).

La communauté internationale ne peut pas rester sans action face à ce problème. Elle prend des mesures efficaces – en avril de 2000, par exemple, s’est tenue un réunion à Dakar. Les 1000 participans se sont fixé les deux objectifs majeurs. Le premier c’est de faire accéder tous les enfants à l’enseignement primaire vers 2015. Le deuxième c’est d’éliminer les disparités entre les sexes dans l’enseignement primaire et secondaire. Il est à noter que chaque pays-membre doit y aporter ses efforts.

Sauf cette réunion, il y a eu aussi des rencontres à Gênes en 2001 et à Kananasis en 2002 organisées par le G8. Lors de ces réuinions ont été adoptées les mesures pour aider les gens des pays en développement à accéder à l’éducation primaire universelle. Par exemple, ils ont avancé le programme «L’initiative acclérée» qui poursuit des politiques claires en faveur de l’éducation de base.

La France participe activement ans ce programme. Elle est au remier rang des pays-donateurs avec ses 20% d’aide publique.

 

 

IV.2. L’Europe fait bouger les jeunes


En vingt ans, le programme Erasmus a permis à plus d’un million et demi de jeunes Européens de partir étudier dans un autre pays membre.

Parce que ce sont les jeunes qui feront l’Europe de demain, il faut leur donner les moyens de la connaître. Un principe que l’Union européenne met en action en invitant étudiants, apprentis et scolaires à partir à la découverte des citoyens des autres pays membres.

«Les voyages forment la jeunesse», dit le proverbe. Aussi, pour mieux connaître l’Union européenne, quel meilleur moyen pour un jeune Européen que de séjourner quelques temps dans un autre pays membre que le sien? C’est ce que proposent plusieurs programmes financés par l’UE visant notamment à favoriser la mobilité des jeunes et à encourager les échanges. Parmi eux, Erasmus cible en priorité les étudiants. Mettant l’accent sur la dimension européenne de l’enseignement supérieur et cofinançant des actions de coopération entre établissements, ce programme, qui fête ses vingt ans en 2007, permet aux jeunes d’étudier durant trois à douze mois dans un autre État et de bénéficier pour cela d’une aide financière.

Des étudiants français enthousiastes. Mis en place en France dans toutes les universités et la plupart des autres établissements d’enseignement supérieur, Erasmus séduit ainsi chaque année plus de 21 000 étudiants français prêts à se «frotter» à une autre culture que la leur. Ils ne le regrettent d’ailleurs pas, car l’expérience est riche tant sur le plan des apprentissages, notamment linguistiques, de l’insertion professionnelle que de l’épanouissement personnel. De surcroît, pour soutenir la mobilité, le temps d’étude passé à l’étranger est reconnu par l’établissement d’origine. La France a par ailleurs mis en place, avec un an d’avance sur le calendrier prévu, le système «licence-master-doctorat», voulu par 45 pays d’Europe pour harmoniser les cursus universitaires et faciliter la reconnaissance académique des diplômes.

Européen à tout âge. Faire bouger les jeunes est aussi l’une des ambitions du programme Leonardo da Vinci, qui s’adresse notamment à des établissements de formation professionnelle désireux d’envoyer des élèves en stage pratique - jusqu’à une année - dans un autre État de l’Union. Sont également concernés, sous certaines conditions, des jeunes diplômés et des demandeurs d’emploi intéressés eux aussi par un stage dans une entreprise sise dans l’UE, qui améliorera leur adaptation au marché de l’emploi. Quelque 7 000 jeunes Français obtiennent ainsi, tous les ans, une bourse par le biais de ce programme, dont l’une des vocations est de contribuer au développement du marché du travail européen et de la libre circulation des travailleurs et des citoyens.

Enfin, comme il n’y a pas d’âge pour s’intéresser à la langue et à la culture de nos proches voisins, l’Europe s’invite sur le banc des écoliers. Grâce à Comenius, des coopérations entre écoles de pays différents sont organisées. Elles peuvent mener à la réalisation de projets transnationaux, telle la rédaction d’un journal bilingue par deux classes, à des échanges de classes, etc. Afin de sensibiliser tous les élèves à la dimension européenne, la France a en outre intégré, depuis la rentrée 2006, l’apprentissage de notions de base sur l’UE dans son «socle commun des connaissances».

Comenius, Erasmus et Leonardo devraient prendre encore de l’ampleur sur la période 2007-2013. Ainsi, par exemple, Erasmus envisage de soutenir la mobilité de trois millions d’étudiants de l’UE d’ici à 2011. Un développement particulièrement souhaité par la France.

Florence Raynal, journaliste. Label France


Дата добавления: 2015-08-21; просмотров: 58 | Нарушение авторских прав


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