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Objectifs de la mondialisation. Plan

I. Introduction

II. Développement

1. Deux loix de la mondialisation

a. Urgence

b. Interdépendance (menaces sociale, économique, écologique, militaire)

2. Trois tentations

a. Peur

b. Force

c. Indifférence

III. Conclusion

 

Exposé

Le thème que j’ai à developper est “Objectifs de la mondialisation”.

Certes, nous vivons dans un monde d’interconnexion et d’intedépendance à l’échelle de la planète. Tout ce qui peut se passer quelque part affecte la vie et l’avenir des gens partout ailleurs. Aucun territoire souvenain si vaste, si peuplé, si riche soit-il ne peut protéger à lui seul ses conditions de vie, sa sécurité, sa prospérité et l’existance de ses habitants. L’interconnexion s’exerce à l’échelle mondiale. Un étudiant chinois, par exemple, peut accéder à la banque de données des universités européennes, confronter ses collègues américains.

Sans doute, la mondialisation porte en soi quelques risques. Notamment, elle risque de négliger les pauvres. A cet effet, il est important d’établir quelques principes pour faire respecter les droits de l’homme (comme le propose Dominique de Villepin, ancien ministre français des affaires etrangères). Dans cette perspective, il faut prendre en considération que le monde d’aujourd’hui est régi par les deux loix – l’urgence et l’interdépendance. Je voudrais préciser ces deux termes avant d’énumérer les objectifs de la mondialisation.

L’urgence c’est la réacton immédiate des états aux crises mondiales comme en cas des Balcans, de l’Afganistan, de l’Irak et de la Corée du Nord.

Quant à l’interdépendance, elle est nécessaire face aux menaces mondiales. Dominique de Villepin en nomme les quatre – économique, sociale, écologique et militaire.

1. La menace sociale consiste, en grande partie, en terrorisme. Des actes terroristiques sont répandus dans toutes la planète – Bali, New York, Mambasa.

2. La menace économique c’est la tempête boursière qui affecte toutes les régions.

3. Ce qui est pour la menace écologique, c’est la pollution de la nature, l’effet de serre etc.

4. Quant à la menace militaire, les crises militaires régionales peuvent influencer tous les coins du monde et risquer ainsi les équilibres stratégiues.

Pour maîtriser ces risques, il faut éviter les grandes tentations. De Villepin en suggère trois. Echapper chacune d’elles c’est les trois objectifs principaux de la mondialisation.

1. La première tentation est celle de la peur. Ce problème est lié à la menace du terrorisme qui fait peur à toute la planète. Il faut le combattre avec détermination et non avec la peur. Les états doivent lutter contre le terrorisme par tous les moyens y compris militaires (comme à l’Afganistan, par exemple). La lutte contre le terrorisme est d’autant plus nécessaire que c’est en même temps la lutte contre la grande pauvreté, le désespoir, l’humiliaton et le rejet de l’autre.

2. La deuxième tentation est celle de la force. Aujourd’hui, il est peut désirable que les états emploient la force dans la résolution des problèmes. Cela peut amener à un nouveau conflit mondial. C’est pouiquoi il faut régler des controverses avec le dialigue.

3. La troisième tentation est celle de l’indifférence. C’est que nous devons être sensibles aux maleurs des autres.

Bref, la mondialisaton est inéluctable et irréversible. Dans les conditions de l’urgence et de l’interdépendance, les états doivent établir le dialogue en évitant les tentations de la peur, de la force et de l’indifférence. Selon Dominique de Villepin, c’est le dialogue qui doit maintenir la stabilité dans le monde.

I.2. Les trois piliers d’une diplomatie mondialisée:

légitimité, partage, justice

Pour répondre à ces défis de la mondialisation, trois principes s’imposent: légitimité, partage, justice. La légitimité de l’action repose sur les valeurs de la démocratie et de l’Etat de droit. La nouvelle communauté mondiale y aspire. Elle revendique une légitimité qui ne soit pas celle de la puissance mais celle de l’action collective, avec des règles claires, des processus de décision à la fois efficaces et respectables, ainsi que des instruments de justice adéquats. La Cour pénale internationale, dont le statut est entré en vigueur le 1er juillet 2002, constitue un acquis majeur que nous devons désormais défendre et consolider.

Deuxième principe, le partage. Il est plus que jamais essentiel que chaque nation, chaque peuple, chaque culture apporte une contribution unique et essentielle à l’édification du monde de demain. Le monde, riche de ses différences, multiplie les possibilités d’échange. Alors que l’homogénéité gagne, nous devons défendre la pluralité des cultures et veiller à ce que chacun puisse exprimer pleinement sa singularité.

C’est dans le respect de l’autre que nous pourrons retrouver, par-delà ce qui sépare les peuples et les cultures, le foisonnement des affinités et des échanges possibles. A rebours des préjugés et des logiques de fracture, ne jugeons aucune religion à l’aune de ses fanatiques ou de ses pourvoyeurs; ouvrons la voie du dialogue des cultures. Il y va de notre avenir à tous. Car tous les hommes partagent le même besoin de sens, de dignité et de liberté.

Cette exigence de partage est au cœur de l’ambition de l’Europe et de la France. Depuis près de cinquante ans, sur notre continent autrefois percé d’antagonismes, nous inventons avec détermination une communauté unie et forte, respectueuse des différences, consciente que sa diversité constitue son bien le plus précieux. A nous de réussir l’élargissement historique de l’Union européenne et d’approfondir l’architecture européenne. Avec l’ensemble de nos partenaires européens et des futurs membres de l’Union, le couple franco-allemand doit assumer toutes ses responsabilités et faire preuve d’initiatives, pour porter au sein de la Convention sur l’avenir de l’Europe des propositions de réforme novatrices et audacieuses.

Dernier principe enfin: la solidarité et la justice. Qui ne voit aujourd’hui que tous nos efforts de sécurité seront vains si nous ne nous attaquons résolument aux fléaux de la pauvreté, de la maladie, des atteintes à l’environnement ou des crises régionales? Nous sommes comptables de ces drames qui font souffrir des populations entières et constituent autant de menaces pour la stabilité du monde. Fidèle à sa vocation qu’atteste l’engagement au service des plus démunis de tant de nos compatriotes, pionniers de l’humanitaire, la France va doubler en cinq ans son effort d’aide au développement et fixe un cap ambitieux pour l’avenir.

Pour faire reconnaître ces principes, notre action doit s’inscrire dans une volonté collective, efficace et persévérante. A nous d’inscrire nos engagements dans la durée. Le combat requiert détermination et ténacité, car les voies de l’ordre sont souvent longues et exigeantes. Aussi faut-il savoir tracer une perspective, envisager le long terme, creuser patiemment un sillon. Nous le voyons aujourd’hui en Afghanistan, où, après l’action nécessaire pour éliminer les bases terroristes, il faut maintenant reconstruire, soutenir l’effort du peuple afghan, l’accompagner vers la démocratie et l’Etat de droit. Nous le constatons encore dans les Balkans, où la lutte résolue et persévérante pour l’Etat de droit et contre les organisations mafieuses demeure l’un des objectifs prioritaires pour assurer la stabilité de la région. Nous le voyons enfin en Côte-d’Ivoire, où le retour à la paix reste à instaurer de façon durable.

 

Diplomatie globalisée. Plan

I. Introduction

II. Développement

1. Légitimité

2. Partage

3. Justice

III. Conclusion

Exposé

Le thème que j’ai à développer est «Diplomatie globalisée». Certes, nous vivons dans un monde multipolaire. C’est que tous les états dépendent l’un de l’aute. La décision prise dans un coin du mode influence l’autre coin du monde. Et lorsqu’un état prend une décision, il doit tenir compte des intérets des autres états. Cela mène à une diplomatie globalisée.

La diplomatie globalisée c’est l’établissement du dialogue non seulement entre un pays et l’autre, mais entre les groupements d’états et un ou plusieurs pays.

Pour établir un tel dialogue, il faut se baser sur quelques principes. Ici je veux citer Dominique de Villepin, ancien Ministre français des Affaires étrangères. Selon lui, la diplomatie mondialisée doit se baser sur les trois pilliers – légitimité, partage, justice.

Le premier pillier – légitimité – c’est la chose sur laquelle doit s’appyuer le dialogue dans la société démocratique. La légitimité c’est l’ensemble des règles proposées et suivies par les états pour prendre des décisions correctes à l’aide des instruments de justice adéquats. Ici, il ne s’agit pas de puissance, de la prédominance d’un état sur l’autre, mais plutôt d’une action collecitve. La légitimité de l’action repose sur les valeurs démoctatiques et l’état de droit.

Le deuxième principe de la diplomatie gobalisée – c’est le partage. Le partage c’est quand un pays apporte une contribution (expérience culturelle, politique etc). au développement mondial et en reçoit des autres pays à son tour. Le principe du partage est basé sur le respect. Cette exigeance est essentielle pour l’Europe aussi que pour la France.

Le troisième principe c’est la justice. La justice c’est la garantie des conditions d’une vie normale à tous les pays quel riche ou paure soit-il. Il s’agit du problème de la pauvreté, des maladies, de l’environnement, des crises régonales. A cet effet les pays qui en ont des moyens doivent aider ceux qu n’en ont pas.

Bref, les tâches sont nombreuses. Le principal est de ne pas céder. Comme le suggère Dominique de Villepin, les états doivent s’engager dans une dialogue d’une longue durée et combattre pour la paix avec ténacité et détermination. Les résultats ne se font pas attendre. Nous les voyons déjà en Afganistan, dans les Balcans etc.

 

 

I.3. Une diplomatie économique forte

Ces défis de la mondialisation requièrent une diplomatie politique ambitieuse, mais aussi une diplomatie économique active. Sans l’espoir d’une plus grande équité sociale dans les populations déshéritées, nos efforts seront vains ou de courte durée. Ils se heurteront à l’incompréhension des peuples, à l’agrandissement des fractures entre les régions du monde.

La France entend mener une diplomatie économique volontaire et ambitieuse, à la hauteur des opportunités et des risques de la mondialisation.

Militons ensemble pour une approche économique globale contre les tentations de l’unilatéralisme. Le multilatéralisme incarne le règne du droit et instaure la confiance entre les Etats. La France soutient l’approche multilatérale des négociations commerciales incarnée par l’OMC. Elle défend un cycle global où les enjeux traditionnels des négociations commerciales - tarifs douaniers, agriculture, services - seraient complétés par des négociations sur un ensemble de thèmes de régulation: investissement, concurrence, environnement, normes sociales. Elle demeure plus que jamais soucieuse de faire évoluer les règles quand c’est nécessaire. C’est pourquoi elle propose aujourd’hui qu’un système préférentiel commercial soit appliqué à l’Afrique, dont on sait les difficultés économiques et qui a besoin d’être épaulée dans son intégration au système commercial multilatéral.

Dans le même esprit, la France plaide pour une libéralisation économique qui ne soit pas synonyme de laisser-faire. Elle n’est pas hostile au libéralisme, comme on se plaît parfois à le faire croire. Elle l’est au dogmatisme, aux fausses croyances ou aux préjugés érigés en vérités absolues. Le libre jeu du marché est source de richesses s’il est subordonné à des règles justes et transparentes; sans elles, il peut être aveugle et dangereux.

Ainsi, la France n’a pas ménagé ses efforts, notamment depuis septembre 1998, pour tenter de mieux maîtriser les comportements spéculatifs sur les marchés de capitaux et pour éviter le creusement des inégalités entre les nations. Elle plaide chaque jour pour l’imposition de contraintes de transparence aux entités non régulées telles que les «établissements à fort levier financier» (hedge funds). Elle demande la mise en place de normes internationales de régulation prudentielle et de lutte contre le blanchiment. Le Groupe d’action financière internationale (Gafi) et le Forum de stabilité financière s’inscrivent dans cette perspective. Elle a souhaité que l’on soutienne les pays émergents dans leur choix du régime de change.

La France a également milité pour la création de mesures de régulation prudentielle ou fiscale des entrées de capitaux, telles que celles utilisées par le Chili dans les pays émergents en phase d’ouverture progressive aux échanges de biens et de capitaux. Ces mesures sont désormais acceptées par la communauté internationale et par le FMI. A nous de poursuivre sur une voie soucieuse d’assurer à chacun pleinement sa place dans le grand cercle des échanges.

Enfin, la France ne cesse de chercher des solutions au difficile problème du surendettement des Etats en développement. Elle est à l’origine de l’initiative pour les pays pauvres très endettés (PPTE), qui a été lancée au sommet de Lyon du G7, en 1996. Elle plaide pour qu’une attention particulière soit accordée aux pays PPTE qui ont été touchés par une forte dégradation de leurs termes de l’échange. Elle soutient les propositions du FMI en vue de créer un mécanisme stable de traitement de la dette des Etats émergents surendettés.

Dominique de Villepin, ministre des Affaires étrangères.Label France

 

 

I.4. La présidence française du G8 et le sommet d’Evian

 

Le sommet des chefs d’Etat et de gouvernement d’Evian doit permettre d’aller résolument de l’avant. Il importe à cet égard que les intentions de la présidence française du G8 soient bien comprises. Le G8 n’est pas un directoire du monde. Il incite, stimule mais ne gouverne pas. Il ne se substitue pas aux organisations internationales; il les renforce en favorisant l’entente entre des pays qui, du fait de leur avancée technologique ou commerciale, ont une responsabilité particulière à l’égard de la communauté internationale.

A Evian, le président de la République le souligne en introduction de ce numéro de Label France, la France proposera à ses partenaires un sommet orienté autour de quatre principes fondateurs: responsabilité, solidarité, sécurité et démocratie. Ces grands axes sont indispensables à une mondialisation réussie et humanisée. Sans une économie de marché responsable, soucieuse de la personne humaine et de l’environnement, il ne peut y avoir de confiance dans la mondialisation. Sans solidarité, le fossé continuera de se creuser entre riches et pauvres, nourrissant rancœurs et incompréhensions, et concourant à l’insécurité. Enfin, sans démocratie, le dialogue entre les nations, les peuples et les cultures ne peut pleinement s’approfondir. A l’heure où la mondialisation est parfois contestée ou incomprise, ces principes méritent d’être rappelés. Le sommet d’Evian apportera beaucoup, j’en suis certain, à cet égard.

C’est par une démarche exigeante et respectueuse que notre pays entend peser sur les affaires du monde et contribuer à la construction de la stabilité et de la paix. La France a la vocation et l’ambition de jouer un grand rôle. Elle en a aussi les moyens. Son inventivité, sa compétitivité, son niveau de technologie et d’éducation, lui assurent des bases solides. Sa position au sein de l’Europe, son appartenance au G8, à l’Otan, au Conseil de sécurité de l’ONU, lui confèrent un pouvoir de mobilisation réel. Tout au long de notre histoire, notre nation s’est sentie investie d’une mission particulière sur le théâtre du monde, porteuse de valeurs qu’elle voulait partager avec les autres peuples. Aujourd’hui, notre détermination à œuvrer au service de l’intérêt général constitue notre atout et notre chance.

Dominique de Villepin, ministre des Affaires étrangères.Label France

 

 

I.5. Société multiculturelle. Préservation de la diversité culturelle et linguistique (d’après la presse française)

Société multiculturelle. Préservation de la diversité culturelle et linguistique. Plan

I. Introduction

II. Développement

1. Culture commune

2. Promotion de la diversité culturelle – nouvelle approche

3. Culture française – intégration

III. Conclusion

Exposé

Certes, nous vivons dans un monde déjà globalisé et on discute maitnenant le terme de civilisation universelle. C’est qu’il y a un risque d'appauvrissement de la diversité culturelle, voire la domination d'une certaine conception des rapports économiques et sociaux et bien sur, d’une seule culture et langue.

Cette culture commune est marquée par –

· le recours à un anglais de communication (parfois appelé globish, pour global english), version appauvrie de la langue anglaise,

· des références culturelles américaines ou occidentales portées par des produits culturels (cinéma, musique, télévision),

· ou des modes de vie (sports occidentaux, cuisine italienne, chinoise).

Avec émergence d’une culture commune, il y a le risque de la perte de l’identité culturelle de ceux qui y sont concerné. Mais ce n’est pas l’idéal de la société démocratique. Dans la société démocratique, chaque société doit exprimer sa perception du monde à travers ses propres images et sa propre langue et en même temps accéder à la pluralité des autres cultures.

A cet effet, la France a-t-elle donné priorité à la promotion de la diversité culturelle dans son action diplomatique. Le gouvernement français a proposé une approche tout à fait nouvelle à ce problème. C’est qu’il faut élaborer quelques règles au niveau international concernant la promotion des bien culturels. Les buts de ces règles sont les suivants –

1. établir le droit des Etats d’assurer le respect du pluralisme linguistique et culturel,

2. élancer les programmes de coopération internationaux pour préserver le patrimoine.

Ces règles doivent etre fixées dans une Convention Internationale sur la diversité culturelle dans le cadre de l’UNESCO. Les administrations françaises aussi que les milieux professionnels français de la culture se mobilisent autour de cette initiative. La DGCID en a entrepris, en 2002, les premières démarches.

Ainsi, pour animer le dialogue des cultures, la France dispose d’un instrument exceptionnel - un réseau de plus de 430 établissements culturels, dans 150 pays. Leur mission principale est de faire connaître la culture française aux étrangers.

De nombreux événements se produisent pour faire intégrer la culture française. Parmi eux je peux citer notamment plus de 10 000 manifestations qui ont été organisées, en 2002 en collaboration avec AFAA. Lors de ces manifestations, toutes les formes artistiques ont été représentées – théatre, littérature, cinéma, arts plastiques etc. Elles ont permi au public de connaître des œuvres anciennes aussi que des créations contemporaines.

Le dialogue culturel implique, en retour, l’accueil des cultures étrangères en France. On peut mentionner à cet effet les Saisons Culturelles. En 2002, par exemple, leur édition mettait la République Tchèque à l’honneur. On peut parler aussi de 12 films étrangers qui ont été sélecté à Cannes grâce au Gouvernement français - la France leur a apporté son aide financier.

Quant à la diversité linguistique, c’est la Francophonie qui l’assure.

Ces faits cités, sans doute, la France appuie des rapprochements créateurs entre cultures.

 

 


Дата добавления: 2015-08-21; просмотров: 61 | Нарушение авторских прав


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