L’énergie

Premier pays exportateur d’électricité en Europe, la France est très compétitive en la matière. Cette 1^ère place, l’hexagone la doit essentiellement à la richesse de son parc électro-nucléaire. L’uranium, combustible des centrales nucléaires abonde toujours sur la planète et le sous-sol français en contient une quantité notable.

Les 75% de l’électricité provient du nucléaire. La production hydrolique assure 15% de la demande nationale. Les centrales thermiques classiques forurnissent les 10% restreints. L’électricité n’étant pas stockable (невозможно запасать), ces centrales à flamme sont essentiellement mobilisées pour répondre à la consommation de pointe notamment en hiver. C’est donc l’énergie nucléaire qui fournit la demande étrangère. Toute activité humaine nécessite une consommation de l’énergie. Aussi consommons-nous de l’énergie pour satisfaire nos besoins diversifiés, pour nous éclairer, pour nous chauffer, pour nous déplacer. Tous les objets que nous utilisons ont nécessité pour leur fabrication de l’énergie. Le recours à l’énergie est indispensable pour remplacer progressivement le travailleur par les machines dans l’accomplissement des tâches pénibles et dangeureuses, pour l’exploitation des ressources inutilisées, pour développer les moyens d’investigation et de connaissance. L’énergie est une condition essentielle du fonctionnement de toute économie moderne. Aussi sa disponibilité aux meilleurs coûts et dans les formes correspondant le mieux aux besoins est-elle une priorité de toute politique étrangère. Pourtant, des crises énergétiques ont appris que l’énergie consommée était malgré son apparence abondante une ressource limitée à l’échelle de la planète et que son contrôle était devenu un des enjeux majeurs du monde contemporain. C’est pourquoi les pays industrialisés s’efforcent de consolider des politiques énergétiques sur quelques principes communes:

· priorité à la lutte contre le gaspillage d’une matière première ou qui peut le devenir pour des raisons techniques ou politiques

· diversification des sources d’approvisionnement (снабжение, обеспечение) pour réduire les risques qui découlent d’importation trop liée à tel ou tel pays

· équipements en énergie plus aisément disponibles: le nucléaire.

· encouragement aux énergies nouvelles différemment réparties: l’énergie solaire p.ex.

La presque totalité de la consommation mondiale d’énergie commerciale (95%) est assurée par les charbons et les hydrocarburs qui sont des ressources fossiles (ископаемые), c’est-à-dire le résultat d’un très long enfouissement (укладка) de corps organiques dans les roches. Ce sont donc des ressources non renouvelables, des ressources que la nature produit si lentement et si irrégulièrement que l’homme doit considérer leur quantité comme limitée et leur épuisement comme possible même si la découverte de nouveux gisements remet régulièrement en cause les prévisons les plus catastrophistes. L’uranium est aussi une ressource fossile non renouvelable. L’importance des prélèvements sur (обложение) ces ressources non renouvelables ainsi que les crises de l’énergie ont suscité un effort de recherche en direction des énergies renouvelables jusqu’à leur limitée principalement à l’énergie hydroélectrique.

L’énergie solaire paraît être la plus prometteuse. Mais sa maîtrise pose de multiples problèmes non encore résolus au stade industriel car il s’agit par définition d’une énergie peu dense. L’énergie éolienne est également difficile à maîtriser lorsqu’il s’agit de dépasser la stade de la simple éolienne. L’énérgie de la biomasse ( ou pétrole vert- énergie produite par transformation chimique bactérienne des végétaux ) est potentiellement très importante mais entre en concurrence avec les utilisations alimentaires de la biomasse. L’énergie géotherrmique (elle est captée à partir de l’énergie des sources chaudes, geysères, fumerolles et vapeurs. ) offre pour l’instant des possibilités limitées. L’énérgie thermique des mers demeure depuis de nombreuses années au stade expérimental.

Дата добавления: 2015-11-16